Des
flocons de
neiges suspendus
à un
ciel de
printemps.
Des obus parsèment leur feu dans les jardins de la vie.
assis sur un nuage de consciences.
Construire leur sens.
Un tas d’immensitude égaré dans le vide,
dans un rien où l’on trouve le mot à dire.
Aimer à n’en plus vivre noyé dans le poème.
Tu te réveilleras chaque matin comme une nouvelle note.
Des obus parsèment leur feu dans les jardins de la vie.
S’écrit
le poème,
vent
violent assis sur un nuage de consciences.
Nous
poètes sommes
les témoins
de l’image
perdue.
Nous
tentons de
la restituer
dans toute
sa véracité.
Redéfinir
l’amour
Redéfinir
le poèmeConstruire leur sens.
Un tas d’immensitude égaré dans le vide,
dans un rien où l’on trouve le mot à dire.
Aimer à n’en plus vivre noyé dans le poème.
Tu te réveilleras chaque matin comme une nouvelle note.
©Jamila Abitar
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